Les causes du SOPK questionnent et inquiètent parfois les patientes qui viennent tout juste de recevoir ce diagnostic. Quand une femme apprend qu’elle est atteinte du SOPK, un raz-de-marée d’émotions peut surgir. Peur de ne pas pouvoir enfanter. Culpabilité face à un corps qui semble “défaillant”. Colère de ne pas avoir été entendue plus tôt. Et surtout, un immense flot de questions : Pourquoi moi ? D’où ça vient ? Est-ce que je peux en guérir ?
Le SOPK ou syndrome des ovaires polykystiques, est un trouble hormonal qui touche environ 1 femme sur 10 en âge de procréer. Ce syndrome n’a pas une cause unique mais résulte de plusieurs facteurs : génétiques, émotionnels, énergétiques, hormonaux, environnementaux ou liés au mode de vie et qui jouent tous un rôle plus ou moins marqué selon les femmes.
Cycles irréguliers, acné, fatigue, absence d’ovulation, hyperpilosité, prise de poids inexpliquée… Ce ne sont pas que des “symptômes” : ce sont les cris d’un corps qui tente de nous dire quelque chose. Et si l’on arrêtait de le voir comme un ennemi à combattre, pour enfin l’écouter ? Essayons ensemble d’y voir plus clair pour que tu puisses mieux comprendre les causes du SOPK.
Lise Bourbeau le dit : le corps ne ment jamais. Il est le miroir de nos émotions, de nos blessures, de nos croyances profondes. Et si les causes du SOPK n’étaient pas uniquement liées à déséquilibre hormonal ? Et si elles étaient aussi le reflet d’un déséquilibre intérieur, d’une féminité blessée, étouffée, ou d’une vie vécue en dissonance avec ses besoins profonds ?
Des femmes atteintes du SOPK racontent souvent qu’elles se sont “oubliées” pendant des années. Qu’elles ont toujours voulu “bien faire”, “performer”, “plaire”, quitte à taire leur douleur, leur intuition, leur rythme naturel. Le corps, dans son infinie sagesse, finit alors par exprimer ce que l’âme n’a pas pu dire.
Il est vrai que le SOPK a une composante génétique : mères, sœurs, tantes peuvent aussi en être atteintes. Des travaux récents suggèrent également que l’environnement hormonal dans lequel grandit le fœtus pourrait influencer l’expression de certains gènes, notamment via des mécanismes épigénétiques. Cela expliquerait pourquoi le SOPK peut parfois se transmettre de mère en fille, sans pour autant être strictement héréditaire.
Mais si la génétique joue un rôle important, elle n’est qu’une pièce du puzzle dans la compréhension globale du SOPK car derrière cette hérédité biologique, il y a aussi une transmission invisible : celle des blessures, des non-dits, des croyances limitantes sur la féminité, la maternité, ou encore la valeur de soi.
Natacha Calestrémé parle de “loyautés inconscientes” : on porte parfois des poids qui ne nous appartiennent pas, des émotions que l’on n’a pas vécues mais que notre lignée nous a transmises. Et si ton corps essayait aujourd’hui de te libérer de tout ça ? De couper des chaînes, pour que tu puisses marcher plus légère vers ta propre vérité ?
L’excès d’androgènes, la résistance à l’insuline, l’hyperinsulinémie… Tout cela n’est pas une fatalité. Ce sont les signes visibles d’un déséquilibre énergétique plus profond. Dans la vision d’Irène Grosjean, le corps est comme un jardin : si le terrain est surchargé, acidifié, congestionné, les fonctions vitales s’enrayent. Et l’ovulation aussi.
Nos hormones sont des messagères. Si elles ne circulent plus librement, c’est peut-être parce que quelque chose bloque le flot : un trop-plein émotionnel, une alimentation déconnectée du vivant, un stress chronique qui enferme le corps en mode survie.
L’alimentation moderne, les polluants, la sédentarité, les perturbateurs endocriniens… tout cela pèse sur notre équilibre. Mais ce qui pèse encore plus souvent, c’est ce que nous portons en silence : une vie à contre-courant de soi, des pensées auto-critiques, des émotions non exprimées. On oublie de respirer. De vivre. De créer. De s’aimer. De ralentir. Le SOPK devient alors un appel à ralentir, à revenir à soi, à purifier son environnement autant que son esprit.
Les causes du SOPK ne se résument pas à un seul facteur. Elles sont uniques et multiples selon chaque femme. C’est une alchimie subtile, où le corps, le cœur, l’âme et l’histoire familiale se mêlent. Mais c’est aussi ce qui rend l’accompagnement si riche, si personnel, et surtout, si transformateur.
Des solutions naturelles existent : soutien en sophrologie ou en micronutrition par exemple peuvent te permettre de soulager les symptômes. Tu peux apaiser ce syndrome. Tu peux transformer ta relation à ton corps. Tu peux réactiver ta fertilité naturelle, pas seulement au sens biologique, mais aussi au sens de “créer ta vie”. Nourris ton corps de vivant, entoure-toi de douceur, parle à tes cellules avec amour, et libère tes émotions pour retrouver la paix intérieure.
Le SOPK n’est pas une fatalité ni une punition, c’est une voie de transformation, un chemin initiatique pour revenir à toi. Ton corps sait. Il n’a jamais été contre toi : il a juste toujours voulu te ramener à toi, alors prends le temps d’explorer les causes du SOPK, c’est une invitation à renaître !
Qui suis-je ?
Je suis Camille Bonnin, sophrologue et micronutritionniste, formée dans la santé environnementale et spécialisée dans le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK).
En tant que personne vivant également avec le SOPK, je comprends profondément les défis associés à ce syndrome.
Mon expertise me permet d'accompagner et de soutenir efficacement celles qui en souffrent.
"Avec les bons outils et les bons conseils toi aussi tu peux t'en sortir !"
Tu le sais, le SOPK représente un défi quotidien de taille.
Mais écoute-moi bien : tu as le pouvoir de le surmonter.
J'ai personnellement relevé ce défi avec succès, et je suis convaincue que toi aussi, tu en es capable, avec la bonne méthode.
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et la santé environnementale.
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